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», je ne sais pourquoi, chaque fois que nous leur
serrons la main
, ils pincent les lèvres, comme si l’on venait de leur marcher sur le
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», je ne sais pourquoi, chaque fois que nous leur
serrons la main
, ils pincent les lèvres, comme, si l’on venait de leur marcher sur le
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sortir. Il passe près de Denis de Rougemont, lui
serre la main
et l’entretient d’un petit restaurant où ils avaient l’habitude de se
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ques. Pour notre part, nous pensons ce qui suit :
Serrer la main
d’un communiste occidental, qui approuve « librement » son parti, c’e
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nt du comité exécutif, Denis de Rougemont af. «
Serrer la main
d’un communiste, désormais… », Le Figaro littéraire, Paris, 10 novemb
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t une action, non pas un raisonnement. Refuser de
serrer la main
d’un homme, ce n’est pas tirer sur lui, ce n’est pas le gifler. Mais
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triels, les acteurs, les fermiers l’écoutent, lui
serrent la main
ou se font taper sur le ventre, on dirait qu’ils s’inquiètent de ne p
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n juge fédéral. Celui-ci le déclare innocent, lui
serre la main
et le fait relâcher. Mais sitôt sorti du bureau du juge, dans le corr
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ui se passe de différent entre deux hommes qui se
serrent la main
« en chair et en os » et deux images des mêmes hommes qui se tendent
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t cependant se voir et se parler… Mais non pas se
serrer la main
à l’arrivée. On sent tout ce qui manquerait d’humainement essentiel à
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me garder de répondre, et comme je vais pour lui
serrer la main
, je vois du coin de l’œil, sur son bureau, le Courrier de Paris, de D
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ilà. Je lui dis : « Léon-Paul, je n’ose plus vous
serrer la main
! J’ai peur d’être Don Juan au dernier acte… » Il s’arrête. « June ho
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t cependant se voir et se parler… Mais non pas se
serrer la main
à l’arrivée. On sent tout ce qu’il manquerait d’humainement essentiel